Faëlianne, le conte légendaire

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 03/10/2006

Nom :: Silverhand
Prénom :: Faëlianne
Surnom :: Lady Fae
Planète :: Tekiruh
Âge :: Seize ans

Description physique :: Sans être une beauté artificielle ou surfaite, lady Fae n'en est pas moins une belle jeune fille. Sa peau à la couleur de l'ivoire et est douce comme la caresse d'une brise printanière. Sa voix est sensuelle et douce... cristalline. Ses cheveux sont d'un noir d'ébène et ses yeux d'un gris métalique saisissant. Elle a une jolie bouche et des traits harmonieux. Elle n'est ni grande ni petite, mais elle paraît chétive. Elle a une démarche très digne avec un roulement de hanches sensuels. Chacun de ses mouvements est imprégnés de grâce.

Pouvoirs :: C'est une ensorceleuse, donc elle connait des sorts. Niveau 0 à 5 dans les sorts de D&D.

Caractère :: Côté caractère, lady Fae était autrefois une jeune fille tout à fait adorable. Elle était extravertie et enjouée. Aujourd'hui elle est terriblement malheureuse toute seule dans son grand palais vide. Elle déprime et se morfond, mais ne peut pas mourir tant qu'elle n'aura pas trouvé l'amour. Elle maudit chaque jour cette sorcière... Elle le sait au plus profond d'elle-même que c'est elle qui a convaincu le guerrier, son amour, de lui offrir ce présent maudit... La malédiction! Elle a parfois des excès de rage pour rien, sûrement la solitude, mais elle est généralement calme et maître d'elle-même. Elle croit devenir un peu plus folle chaque jour qui passe.

Histoire

Son histoire? La véritable est très floue puisque depuis très longtemps elle a été maudite. Et vous savez, on ne peut se fier sur la transmission orale quand nous voulons la vérité... Son histoire... Même Faëlianne a oublié son passé en très grande partie. C’est pourquoi, et grâce au bouche à oreille, qu’on la nomme et qu’elle se nomme, lady Fae. Cependant, la légende raconte qu'elle était une princesse d'une contrée lointaine. Une bourgeoise au dot frauduleusement élévée tout à fait adorable. La richesse de sa famille égalait presque celle de la famille royale. Nul n’était capable de la voir sans l’apprécier. Toutes les personnes se présentant à elle, lui offraient toujours des cadeaux pour lui montrer combien ils l’aimaient. Elle était d'une grande beauté. Un jour, un guerrier eu le malheur de tomber amoureux d'elle... Il se jeta presque sur elle quand il l'aperçu dans les jardins. Il s’était agenouillé, avait prit ses mains en la suppliant de l'épouser. Naturellement, il n’y avait rien qui puisse être aussi beau sans une tache pour venir cacher le tableau. Une autre elfe, la magicienne du royaume, était d’une terrible jalousie! Elle enviait cette petite princesse (c'est un surnom) trop aimante, trop aimée du peuple! Camouflée dans l’ombre, elle sourit mystérieusement et s’en fut dans sa tour. Pendant toute la nuit, elle fabriqua de merveilleux souliers. D'une couleur blanche éclatante ornés de perles et de diamants. La magie l'aidait beaucoup. Elle enchanta les chaussures afin que la personne les revêtant ne puisse les enlever sans qu'elle aime un homme et qu'il l'aime en retour. Il devrait embrasser les souliers pour qu'elle puisse enfin s'en libéré. Elles avaient également un pouvoir... Il pleuvrait toujours partout où elle irait et jamais personne ne serait capable de la suivre. Pas qu'elle irait trop vite, seulement que cela serait impossible grâce à un champs magique. Seule une personne serait capable de la rattraper... Et il n'y avait qu'un moyen. Il fallait qu'il traverse le champ d'hommes statufiés (ceux qui avaient cru être le bon) et pousser la porte d'entrée du jardin de lady Fae. Il devrait allait trouvé la belle et la demander en mariage. En cas de refus, il deviendrait une statue... Et mieux! Les chaussures bloquaient la magie de la talentueuse Faëlianne.

Ainsi donc, le lendemain matin, la magicienne, devenue une elfe corrompue à cause de ses desseins sombres, alla trouvé le guerrier et lui tendit les chaussures en lui disant qu’il devrait les offrir à sa belle. Le jeune homme, fou de joie alla trouver Faëlianne dans son palais. Elle était assise dans un des grands salons, dignement, toute seule puisqu’il avait demandé une audience privée. Il s’approcha. Les yeux de la princesse s'illuminèrent devant la splendeur des souliers. Le guerrier fut ravi qu’ils lui plaisent tant… la magicienne aussi. Il fit glisser une des chaussures à son pied. Parfait. Le ciel s'assombrissait. Il lui mit l'autre en vitesse et recula avec un sourire. La magicienne sortie de l’ombre, cachant un poignard sous sa cape.

- Et bien, jeune homme… (la pluie se mit à battre, le tonnerre grondait) tu viens de maudire ta belle. Tu pourrais bien sûr la libérer, mais…

La magicienne poignarda la chair tendre du guerrier. Elle le souleva magiquement de terre et le fit voler jusqu’à une barre de fer pointue tenant les armoiries du pays. Elle l’y empala. La jeune bourgeoise poussa un cri de douleur à son cœur. Son amour venait d’être assassiné sous ses yeux! Elle se leva et s’enfuit de la salle. La magicienne la suivit. La pluie s'abattait sur la forteresse de ses parents... Et seulement sur la forteresse. Les gens se mirent à l'abri. Aussitôt que Faëlianne touchait l'un d'eux... Ils se changeaient en statue. Elle cherchait en tout sens... Une mauvaise odeur, l’engourdissement, le froid, le noir. On venait de la droguer à l’éther. La magicienne des elfes entraîna la jeune fille très loin de son royaume… Elle fit s’élever un château en ruine dont elle enchanta les alentours avant de partir. Depuis ce jour, les hommes trop téméraires, indignes du cœur de la princesse perdue, sont changés en statue au pied de la demeure lorsqu’il arrive trop près du but. Quand lady Fae touche une personne dans le cercle magique autour du palais, cette personne est changée en statue. Lorsqu’elle sort de sa demeure, elle entraîne l'orage avec elle... D'où est née la légende :

Souffle les vents
Tonne l’orage
Pleurent les enfants dans leur lit sans bougés
Nul ne sait jamais les consoler
Sans raconter l’histoire de lady Fae

Souffle les vents
Tonne l’orage
Jusqu’à l’horizon les badauds envoûtés
Nul ne sait les ignorer chanter
Les vertus magiques des souliers de lady Fae

Souffle les vents
Tonne l’orage
Lorsqu’on l’aperçoit on ne peut l’oublier
Mais nul ne sait jamais la rattraper
En suivant les traces des souliers de lady Fae

Souffle les vents
Tonne l’orage
En haut de la colline elle a sa maisonnée
Nul ne sait espérer l’approcher
Sans porter les souliers de lady Fae

Souffle les vents
Tonne l’orage
Elle prend de sa main la vie des étrangers
Nul ne sait fouler la route aux souliers
Sans trouver la mort aux portes de lady Fae

Souffle les vents
Tonne l’orage
Celle qui tient le fort reste une fille à marier
Elle attend le jour où l’un d’eux va passer
La porte de la demeure de lady Fae

Autres :: Ceux qui désirent la libéré, envoyez-moi tout d'abord un mp afin que je juge si vous en êtes digne ou non. N'oubliez pas que je suis maîtresse du château en ruine. Ne croyez pas atteindre la belle si facilement...

Admin Nombre de messages : 133 Date d'inscription : 23/09/2006

Juste une question... Tu dis que ce n'est pas fini. Est-ce vrai? Parce que tout semble complet dans cette présentation, qui est en même temps excellente.

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 03/10/2006

J'ai fini là. ^^ Je voulais rajouter un truc dans autre, mais mon autobus allait passé d'une seconde à l'autre Rolling Eyes

Admin Nombre de messages : 133 Date d'inscription : 23/09/2006

Parfait. ACCEPTER